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Lombre présente « La lumière du noir » live au musée Soulages

By 27 octobre 2021No Comments
Nous sommes très heureux de vous présenter aujourd’hui un premier extrait du film « Live entre les toiles » tourné au Musée Soulages en mai dernier avec Lombre.
« La lumière du noir » un titre dédié à Pierre Soulages interprété devant l’un de ses plus imposants outrenoir, extrait du dernier EP
Lombre a pris son temps pour donner suite à un premier Ep qui lui a permis de poser les bases de son identité musicale. Trois ans pendant lesquels le jeune ruthénois a muri son projet, travaillé d’arrache-pied, digéré les creux de sa jeune vie pour mieux nourrir une approche bien à lui de la musique : dérouler ses inspirations, ses réflexions et ses émotions sous la forme d’une écriture aiguisée, et d’un spoken word bien calé sur des productions urbaines corrosives, aux mélodies percutantes.
C’est donc en septembre 2020, dans le contexte pandémique que l’on connait, que Lombre a sorti son deuxième Ep « La Lumière du noir ». 6 titres ou, à ne jamais se lâcher, le noir et l’espoir n’ont jamais aussi bien rimé. Preuve de la force de sa proposition, rien – pas même l’absence de concerts – n’a pu freiner l’accueil médiatique du disque. De Libération à Rock & Folk, en passant par L’Obs, France Inter ou RFI, toute la presse s’accorde à dire que l’univers de l’artiste marque les esprits, impressionne même. A l’instar de Daphné Burki qui l’accueille en mars dernier dans l’émission tv Culturebox, tous soulignent le talent de Lombre à construire durablement des ponts entre le noir et la lumière.
Quoi de plus évident alors que de voir le musée Soulages rapprocher ce jeune poète 2.0 de cet artiste dont il a toujours été sensible à l’art comme à la philosophie. « Chez moi, Pierre Soulages a toujours fait partie des murs. Mes parents étaient passionnés par son art ». Comme une consécration de son retentissant début de carrière, Lombre s’apprête à son tour à entrer dans les murs de son inspiration la plus pro-fonde, dans le cadre d’une collaboration avec le Quatuor Debussy et Berywam dont l’émotion sera, à n’en pas douter, elle aussi le maitre mot.